Serge Carfantan
Questions philosophiques
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E-pub
Prix public :
7,00 € |
Auteur : Serge Carfantan
Titre : Questions philosophiques
Autoédition Philosophie et spiritualité
Hors collection
Date de Parution : 08/2016, version 1.0.
dernière révision : 14/09/2018
ISBN-10: 1537039067
ISBN-13: 978-1537039060
Prix public : 10,80 €
TTC
Format : 140 mm x 217 mm
278 pages
Sommaire :
Préface
Introduction
A quelles conditions une activité est-elle un travail ?
Accomplir tous ses désirs, est-ce une bonne règle de vie ?
A-t-on raison d’accuser la technique ?
Autrui est-il un autre moi-même ?
Autrui peut-il être pour moi autre chose qu’un obstacle ou un moyen ?
Bien gouverner, est-ce donner satisfaction à l’opinion publique ?
Ce qui est imprévu était-il imprévisible ?
« Compter sur autrui" ou "compter avec autrui", qu'est-ce qui distingue ces
deux expressions ?
Connaissons-nous mieux le présent que le passé ?
Constater que la vérité change avec le temps doit-il incliner au
scepticisme ?
Dans quelle mesure est-il injurieux de qualifier un être humain
d’inconscient ?
Défendre ses droits, est-ce la même chose que défendre ses intérêts ?
Désirer, est-ce nécessairement souffrir ?
D'où vient la force des préjugés ?
En quel sens faut-il reconnaître ou rejeter le relativisme moral ?
En quel sens la connaissance scientifique peut-elle être un désenchantement
du monde ?
En quel sens la pensée est-elle le propre de l’homme ?
En quel sens la société dénature-t-elle l'homme ?
Entre sauvage et inhumain y a-t-il une différence ?
Est-ce dans la solitude que l'on prend conscience de soi ?
Est-il juste de dire que seul le présent existe ?
Faut-il aimer pour respecter ?
Faut-il donner un sens à la souffrance ?
Faut-il être connaisseur pour apprécier une œuvre d'art ?
Faut-il fixer des limites à l’esprit critique ?
Imaginer, est-ce nier la réalité ?
L’homme maîtrise-t-il le développement de la technique ?
La connaissance de soi peut-elle être sincère ?
La conscience que nous avons de nous-même dépend-t-elle de la société ?
La création artistique a-t-elle quelque chose à attendre ou à redouter de la
production industrielle ?
La difficulté de comprendre les autres fausse-t-elle tout rapport avec eux ?
La diversité des cultures est-elle un obstacle à l’unité du genre humain ?
La féminité est-elle un artifice de culture ou une différenciation de
nature ?
La liberté de penser consiste-t-elle à penser n’importe quoi ?
La notion d’inconscient introduit-elle un fatalité dans la vie humaine ?
La passion éloigne-t-elle de la réalité ? 132 La pensée de la mort
importe-t-elle à la vie ?
La science ne fournit-elle que des certitudes ?
L’activité de l’artiste, relève-t-elle du travail ou bien du jeu ?
L’art peut-il se passer de maîtrise technique ?
L'avenir est-il comme une page blanche ?
Le barbare est-ce toujours l’autre ?
Le bonheur est-il affaire privée ?
Le désir est-il par nature illimité?
Le désir suppose-t-il la connaissance préalable de son objet ?
Le hasard est-il une explication ?
Le journaliste peut-il décider qu'un événement est historique ?
Le langage sert-il à parler ou bien à penser ?
Le loisir peut-il avoir un sens quand le travail n’en n’a pas ?
Le sentiment du devoir accompli suffit-il à fonder la moralité de nos
actions ?
Le silence ne dit-il rien ?
Le temps constitue-t-il pour l’homme une limite ?
Le travail contribue-t-il à unir les hommes ou à les diviser ?
Le verbe exister a-t-il le même sens quand on dit « Dieu existe », « le
soleil existe », « j’existe » ?
Les connaissances scientifiques peuvent-elles servir à lutter contre le
fanatisme ?
Les objets techniques nous imposent-ils une façon de penser ou simplement
une manière de vivre ?
L'expérience peut-elle se définir comme une soumission aux faits ?
L'expression "l'erreur est humaine" signifie-t-elle une excuse, une
constatation, ou une condamnation ?
L’homme se reconnaît-il dans ses passions ou dans leur maîtrise ?
L'idée de progrès historique est-elle encore pensable ou est-ce le mythe
moderne par excellence ?
L’idée d’inconscient exclut-elle l’idée de liberté ?
L’idée d’une liberté totale a-t-elle un sens ?
Conclusion
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Enfin une approche directe, claire, lisible, sans érudition excessive, des
sujets de philosophie du bac ! La preuve que l’on peut très bien par
soi-même s’exdefault.htmlercer à décortiquer une question en étant très attentif à son
objet, sans passer par l’assimilation préalable d’une longue préparation.
Toute question bien posée contient en elle-même sa réponse. Mais encore
faut-il justement bien la poser ! Ce qui veut dire l’expliciter dans le
détail. Passer du temps avec la question. Cela nécessite un grand souci de
clarté, le sens des distinctions et par-dessus tout l’aptitude à empoigner
directement du réel à travers la question posée. Il faut viser la prise
directe et saisir la question avec un sérieux immense, un sens du
pathétique même, pour découvrir là où une question touche directement au
sens, à l’existentiel. Les études de ce volume ont toutefois une portée
ouverte, au-delà des seuls candidats du bac, elle s’adresse à un public
bien plus large.
Dans ce livre, vous trouverez une série d’investigations de sujets du bac.
La rédaction s’étale sur bien des années. Elle a à peine été retouchée.
L’utilisation, du point de vue du professeur est celle-ci : Après avoir
proposé le sujet aux élèves, une fois les devoirs ramassés, le corrigé est
distribué sous forme de photocopies, juste avant que les copies ne soient
rendus. La taille des corrigés est alors réduite à une seule page. Dans
l’attente de recevoir sa copie, c’est une manière de faire le point sur ce
qui a été vu ou pas. Aucun plan n’est proposé et surtout pas de
dissertation type qui laisserait croire qu’il n’y a qu’une seule bonne
façon de traiter la question. Au contraire, ici l’analyse des questions
ouvre des pistes qui autorisent plusieurs manières de s’y prendre.
Cette version est appelée à recevoir des révisions et un autre volume
est prévu.


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