Textes philosophiquesSatprem la maladie de la mort et l'apocalypse
	     "...Ceux qui veulent autrement, qui continueront de 
	croire en la mort et qui mourront bel et bien ? L’Apocalypse, c’est 
	peut-être cela. Mais les gens qui écrivaient l’Apocalypse ne savaient pas 
	l’existence du monde supramental, ils ne connaissaient pas cette Matière-là 
	et ils situaient cela dans quelque ciel, bafouant ainsi le sens de la terre. 
	L’Apocalypse, ce serait vraiment ceux qui restent en deçà de la ligne et qui 
	étoufferont de plus en plus dans leur monde de plus en plus sordide 
	—personne ne les apocalypsera ! ils s’apocalvpseront eux-mêmes, corps et 
	biens. Leur propre vibration lourde et asphyxiante les conduira 
	automatiquement en leur propre lieu: la mystérieuse dégénérescence rapide 
	des éléments inévoluables. Ils auront la maladie de la mort—la maladie de ce 
	qu'ils sont. Il faut préparer la vibration légère! Il faut préparer l’autre 
	respiration. On nous donne peut-être le temps de nous préparer. Nous sommes 
	en préparation. Nous sommes en question. Mère, tome II, l'espèce nouvelle, Robert Lafont, 1976, p 188 . Indications de lecture:Voir les textes de S. Aurobindo. 
 
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