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TPE, travaux personnels encadrés, année 2003par Laure Cazeaux, Marie Lartigue, Emilie Fournet.page 1, page 2, page 3, page 4, page 5, page 6, page 7, page 8, page 9, page 10, page 11.
2 –Religieux : Les critiques religieuses avancées par les philosophes et les encyclopédistes furent plus importantes car elles s’adressaient directement aux personnes concernées. La confiance dans la science et la raison devait pousser les hommes du 18ème siècle à rejeter le surnaturel et donc toutes les religions révélées. Voltaire se plut alors à tourner en dérision les dogmes, les clergés et les pratiques religieuses qu’il jugeait trop ‘conventionnelles et infondées ». De plus, l’Encyclopédie fut accusée « d’élever les fondements de l’irréligion et de l’incrédulité » (arrêt de 1752), car les hommes tels que les philosophes ne se basent généralement que sur des faits réels et prouvés et doutent des miracles. En effet, les philosophes se rallient davantage à la religion naturelle, c’est-à-dire à la croyance et à l’existence de Dieu, à l’immortalité de l’âme et à une morale qui ordonne les vertus traditionnelles. De ce fait, les abbés Mallet et Yvon respectent l’orthodoxie, mais revendiquent la liberté de penser. A travers cette Encyclopédie, les philosophes reprochent au catholicisme d’être intolérant et fanatique, ce qui prouve que beaucoup d’encyclopédistes sont déistes et certains penchent même parfois vers l’athéisme.
B- Une libération des esprits ? |
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