Notes de physique

   Serge Carfantan

Dans La réalité inconnue de Jane Roberts, il est fait mention des UC, unités de conscience à l'origine des UE, unités d'énergie. Les UE sont très petites et indétectables. Ce que les physiciens de la théorie des cordes cherchent se trouve peut-être là.

Un passage sur les UC:

Ces unité de conscience [les UC] se déplacent plus vite que la vitesse de la lumière, mais cettte déclaration même n'a d'uen certaine manière pas de sens, puisque les unités existent aussi bien à l'extérieur qu'à l'intérieur du contexte dans lequel la lumière elle-même a une signifiaction...Les unité de conscience sont "mentale" ou, si vous préférez, désincarnées, bien que toues les formes physiques émergent de leur organisation intérieure....Le grand système de communication à l'intérieur du corps lui-même dépend donc de la ciriculation et du flux intérieurs constant de ces unités.

...Les UC, ou unité de conscience, sont littéralement en tout lieu et en tout temps en même temps. Elles possèdent la plus grande adaptabilité et une profonde propension "innée" à une organisation de toute sorte. Elles agissent en tant qu'individu et pourtant, chacune porte en elle une connaissance  de tous les autres types d'activités se produisant dans n'importe quelle unité ou n'importe quel groupe d'unités.

    En s'assemblant, les unités forment en fait des systèmes de réalité dans lesquelles elles ont leur expérience. Dans votre sytème par exemple, elle sont à l'intérieur du monde phénoménal. Elles vont donc toujours se présenter sous le couvert d'une modèle particulier de réalité. En vos termes, elles peuvent avancer ou reculer dans le temps, mais elles possèdent aussi un autre type de mobilité à l'intérieur du temps tel que vous le connaissez :     Puisque les pommes ont des parties internes, pensez au moment ordinaire comme à une pomme. Dans l'expérience habiltuelle, vous tenez cette pomme dans votre main ou bien vous la mangez. Toutefois, en utilisant cette analogie, la pomme elle-même [comme le moment] contiendrait en son sein d'infinies variations d'elle-même. Même à l'intérieur du temps tel que vous le comprenez, ces UC peuvent donc opérer de façons extrêmement difficiles à expliquer. Le temps ne va pas seulement en avant ou en arrière, mais vers l'intérieur et vers l'extérieur"

Un passage sur les UE :

     Les EE "sont fondamentalement des émanations montant de la conscience... Les émanations sont en fait des tonalités émotionnelles... les unités se situent juste en dessous de la matière physique. ...Elle sont une forme que prend l'énergie émotionnelle...Il existe une grande variété d'unités EE de ce genre à de nombreux niveaux, toutes au-delà de votre perception. Mais amalgamer ainsi ces particules donne une idée fausse, car un grand ordre règne dans tout cela"

      "L'intensité de la pensée ou de l'émotion détermine les caractéristiques de ces unités. Lorsque certains niveaux sont atteints, elles sont propulsées dans la réalisation physique. Que cela se produise ou non, selon vos termes, elles existent en tant que petites particules de matière - comme, disons, de la matière latente ou de la pseudo-matière... Les unités EE sont tout simplement des formes naissante de réalité, des semences nées automatiquement, adaptées à différents environnement, donc certaines apparaissent dans le cadre physique et d'autres ne se conforment pas du tout à ces conditions préalables. Or certains système de réalité sont liés à des centres de particules plus rapides que la lumière".

Sur l'expansion de l'univers:

     Elle a effectivement lieu et elle est en accélération. L'accélération de l'expansion de l'univers relie l'infiniment grand et l'infiniment petit. La relativité générale le suppose depuis l'origine, mais il faut aussi introduire les éléments de la théorie quantique qui caractérisent l'infiniment petit. L'espace et le temps  ultimement doivent disparaître, ils sont l'un et l'autre des illusions. Le contenant de l'espace-temps n'est pas du tout séparable du contenu de la matière-énergie. Il n'y a en soi ni espace, ni temps en réalité. Dans un discours de Princeton, Einstein, quelques mois avant sa mort, disait d'aillieurs qu'il y a beaucoup de raison pour être attiré vers une théorie qui ne contient ni espace, ni temps, une théorie qui déboucherait sur une équation paradoxale: contenant = contenu. Mais il ne va pas assez loin, car la matrice d'un système de réalité inclut aussi la causalité. On doit toujours dire espace-temps-causalité, une formule qui est constante dans la philosophie indienne. Aller jusqu'au bout suppose que l'on considère que la causalité telle que nous la connaissons, c'est-à-dire le processus linéaire de A vers B de la cause et de l'effet est illusoire. La causalité peut aller du futur vers le passé. Cela s'appelle précognition. Les UC dont sont composés tous les systèmes de réalité en sont capables. Les réalité basée sur les UC aussi. Une espèce vivante peut littéralement changer de conduite en prévision de son futur quand elle en a la précognition. C'est de la rétro-causalité. Voir Philippe Guillemant. La pensée peut voyager dans le temps. C'est le mouvement même de l'intention de la Conscience.

     De là suit que l'idée du big bang est une vision fragmentaire, une vérité partielle, il n'est pas un début absolu de l'univers et n'est pas sa création non plus. L'univers est en pulsation rythmique, ondulatoire, sans commencement, ni fin. Le rayonnement électromagnétique et les ondes gravitationnelle en sont la clé. Une autre conséquence est qu'il existe des formes de physique différentes dans d'autres systèmes de réalité que le nôtre, mais l'Energie est partout la même. Et elle n'est pas purement chaotique comme nous avons tendance à le penser. Les physiciens gagneraient pour affiner leur idée de l'Energie à se pencher sur la notion de Prāṇa de la pensée indienne.

      Nos avancées concernant les trous de vers, phénomènes repensés à l'intérieur de la théorie quantique, la découverte par le biais de cette même théorie d'un niveau non-temporel de la Réalité, tout cela prouve que la flèche du temps sur laquelle nous nous appuyons est une simplification abusive. La flèche du temps n'est ni linéaire et n'est pas univoque non plus. Ce qui nous oblige à repenser l'équation de Frank Drake :

N = R x Fp x Ne x Fl x Fi x Fc x L.

     100 milliards de systèmes planétaire analogues au nôtre. Contenant en moyenne dix planètes. Au total 1000 milliards de planètes dans notre seule galaxie. En posant qu'1/10 est habitable telle que la Terre, cela veut dire selon Drake qu'il y a à un instant t donné, dix milliards de ceviilisations intelligentes d'une niveau comparable, inférieur et supérieur au nôtre depuis la naissance de la voie lactée, soit il y a 10 milliards d'années. L'important est d'insister sur la nature de la probabilité, en mettant entre parenthèses les interprétations anthropocentriques. Il n'y a pas que l'homme qui est porteur de la Conscience. Elle est omniprésente dans l'univers. Il n'est pas obligatoire que la forme du système nerveux soit humaine pour qu'une entité présente sur notre plan tridimentionnel manifeste un mental hautement évolué. L'argument du voyage impossible vu les distances, est fondé sur un concept du possible mesuré à l'aune de notre technologie actuelle qui n'est pas très loin du pétaradant moteur à explosion, technologie assurément primitive. La possibilité de manipuler le temps et de le traverser verticalement lèvent bien des obstacles.  Résultats: tout compte fait, la probabilité que les OVNI n'existent pas se réduit à moins 1/200 milliards.

Univers multiples

     Il va falloir s'y habituer, le Kosmos, pour reprendre le terme de Ken Wilber, est un multivers. Comme une rose dont les pétales s'épanouiraient infiniment. Une mutlitude d'univers. Une mutltude de pétales. Mais certains d'entre eux peuvent être connectés par des trous de ver. Des points de communication. En fait il s'agit dans nore monde de dualité de penser l'inverse du trou noir. Si le trou noir est un espace-temps qui s'est entièrement recourbé sur lui-même dans uen sorte de repli solipsiste, son corrolaire serait une fontaine blanche qui, au lieu d'absorber tout ce qui passe à sa portée, y compris la lumière, déverserait de la matière et de la lumière. La matière et la lumière englouties par les trous noirs. Ce couple trou noir-fontaine blanche vient alors valider une nouvelle interprétation du big bang: une sorte de circuit permanent entre les univers de matière, d'information et d'énergie par les tuyaux cosmiques. Autant dire des portails et ce sera plus clair. Encore une fois, le porteur c'est l'Energie infinie qui circule et rayonne infiniment dans le multivers. Le principe métaphysique de la non-séparation au sein du réel est partout valide. Il n'y a aucune raison de supposer que des univers multiples soient complètement séparés et ne puissent pas communiquer. La théorie de la double causalité présuppose l'existence d'univers parallèles. La probabilité d'événements en théorie quantique conduit à la représentation d'univers parallèles. Ce sont les branches de l'arbre de la causalité.

Les ondes scalaires et la résonance Schumann

      Winfried Otto Schumann a découvert en 1950 que sur Terre les organismes vivants entraient en résonnance sur une même fréquence vibratoire, 7,83 Hz. Ce chiffre est obtenu parle produit de la division de la vitesse de la lumière C par la circonférence du globe terrestre. A l'intérieur du cerveau humain cette fréquence de 7,83 se situe à la frontière entre les ondes théta de 4 à 7 Hz (Ce sont les ondes de relaxation de la méditation) et les ondes alpha de 8 à 13 Hz, celles de la relaxation légère diminuant le stress et régulant la créativité. En 1990 le professeur Giacomo Grinberg-Zylberbaum a mené une expérience en plaçant deux sujets en méditation dans chacun une cage de Faraday, cages qui ont la propriété de stopper les ondes électromaniétiques. Il a ensuite envoyé des stimulations sonores au sujet A à l'insu de B. Force a été pour lui de constater que le sujet B les recevaient aussi en temps réel. On peut vérifier que la médiation  fai chuter le rythme cérébral d'une personne autour de 8 Hz. Ce qui al fait entre en résonnance avec la fréquence Schumann. Zylberbaum a observé qu'une communication s'établissait entre deux cerveau des méditants en dehors du support des ondes électro-magnétiques. Celle-ci a été attribuée aux ondes scalaires découvertes par Nicolas Tesla. Il s'agit d'un bruit de fond permanent en provenance du cosmos reçu et transmis par l'eau, les roches, les végétaux, les animaux et les humains. Elles sont porteuses de neutrinos échappés du soleil. Elles forment un maillage commun ondulatoire de tous les règnes présents sur Terre. La spécificité des ondes scalaires est qu'elles progressent non pas en sinusoïdes comme la plupart des ondes, comme les ondes électro-magnétiques de la télévision, mais en vortex. Elles se nourrissent aussi des champs qu'elles traversent. Elles sont donc capables de transmettre des informations mentales d'un bout à l'autre de la planète, et de le faire à la vitesse de la lumière, ce qui donnerait à la télépathie une forme de conducteur dans l'espace-temps terrestre. Aux dires de Nicolas Tesla, très au fait de la science védique, les ondes scalaires seraient la manifestation de ce que l'Inde appelle le prâna. Et la première machine à ondes scalaire serait notre corps lui-même. En 2011 Luc Montagnier a démontré que nos cellules communique entre elles à distance grâce à une fréquence transmise par l'eau, une fréquence capable de régéénérer des séquences ADN endomagée et une fréquence qui n'est autre que la résonnance Schumann : 7,83 Hz.

L'énergie du vide quantique ou point zéro

     Par aillieurs, nous savons que le niveau du vide quantique recèle une énergie colossale, un énergie qui excède l'énergie présente dans la matière de 10 40 . selon Richard Feynman l'énergie d'un mêtre cube de vide suffirait à faire bouillir tous les océans de la planète. Cette existence est théoriquement bien établie, le problème, c'est que personne ne sait comment capter cette énergie. A cela s'ajoute que dans la théorie quantique, il s'agit du champ unifié qui relie toutes les parties de l'univers. Et encore une fois, cette propriété rejoint aussi la notion de prâna dans la pensée indienne qui assume la même fonction.

        La physique quantique bute toujours sur la question de savoir pourquoi les atome sont stables. Selon Hal Puthoff, la stabilité de la matière dépend de l'échange entre les particules subatomiques et le champ d'énergie du point zéro, problème que Niels Bohr solutionnait par un interdit strict. Il est interdit que l'électron s'effondre sur le noyau dans un atome d'hydrogène par exemple.  De là suit que si on coupait le courant de l'énergie du vide, toute la structure de la matière s'effondrerait. De là suit encore nécessairement qu'à ce niveau ultime de l'énergie, il doit y avoir une boucle fermée de l'énergie autogénératrice de tout le cosmos. D'ou le symbole de l'infini comme un 8 couché.